Les élites arrivent toujours à se caser après des succès universitaires, hélas, les plus faibles, dont on remplit la tête d'ambitions, demeurent l'estomac vide.

C'est avec une attention soutenue qu'elle écoutait le concierge lui raconter, patiemment et avec force détails, les événements de la journée écoulée.

Un accord de paix prévoyant un cessez-le-feu immédiat est signé sous l'égide de la chancelière allemande et du président français. 

Les dirigeants de deux pays tentent de relancer le dialogue au point mort depuis 2014 et un processus de renforcement de la coopération. 

Les promoteurs espéraient que ce mouvement ferait tache d'huile et s'étendrait peu à peu à l'ensemble des universités françaises.

Ces propositions ont été conçues par un groupe d'étudiants, qui détonnent au sein de leur école d'ingénieurs.

Ces pays ont trouvé un consensus sur les questions commerciales, pourtant très polémique depuis que Trump prône des mesures de protectionnisme pour son pays.

La décision du directeur est aussi discutable que défendable, elle sera valorisée dans le temps.

Elle grimpe les échelons, jusqu'à devenir une des principales responsables d'une société multinationale.

Elle s'éloigne des plateaux de télévisions et monte sur les planches, à partir de mai elle sera à l'affiche de la pièce "La fève du samedi soir" au théâtre.